L’Observatoire Sport & Digital a publié son baromètre sur la digitalisation des fédérations sportives olympiques ou non. Pour cette première édition, 76 fédérations ont été comparées à travers de 52 critères. L’Athlétisme monte sur la troisième marche du podium.
L’Observatoire du Sport et du Digital vient de livrer son premier baromètre lié à la digitalisation des fédérations sportives françaises. En effet, les fédérations se doivent d’intégrer le digital dans leur quotidien, notamment pour interagir avec leur communauté, qu’elle soit composée de licenciés, de pratiquants ou de sympathisants de leur sport. En dehors de quelques études ponctuelles sur le nombre de followers par réseau social, mesurant de façon incomplète la notoriété, il n’existait pas d’étude en profondeur sur le niveau de digitalisation des acteurs du monde du sport français. Par digitalisation, l’Observatoire analyse spécifiquement le niveau d’interactions proposé par les fédérations aux internautes et mobinautes. Plus concrètement, de la capacité d’une fédération à couvrir l’ensemble des besoins digitaux de sa communauté, fans ou licenciés.
Afin d’avoir une vision la plus large et objective possible, une multitude de critères ont été utilisés pour analyser le niveau de chaque fédération sportive à écouter ses licenciés ainsi que le niveau d’interaction et la qualité des réponses et services proposés. En effet, les 76 fédérations ont été comparées sur 52 critères répartis selon 5 catégories : diversité, proximité, performance, interactions, rayonnement. La FFA termine à la troisième place du baromètre avec une note générale de 81,40. C’est le Football (88,20) qui occupe le haut du classement devant le Rugby (87,00).