Athlétisme : Où regarder le Meeting de Paris en direct avec Kevin Mayer ?

18 juin 2022 à 9:58

Le grand soir pour les passionnés d’athlétisme, c’est ce samedi 18 juin 2022 au Meeting de Paris, un événement que vous pourrez suivre en direct et en intégralité sur la chaîne l’Équipe à partir de 21h00. Présentation des têtes d’affiche, à commencer par Kevin Mayer, les enjeux, le programme… tout ce qu’il faut savoir pour ne rien manquer du spectacle est ici !

La planète athlé aura les yeux rivés sur le Meeting de Paris ce samedi qui a déroulé son tapis rouge sur la piste bleue du Stade Charléry ! Il y a beaucoup à attendre de la 7e étape de la Dimamond League de la saison qui rassemble, dans toutes les disciplines, ce qui se fait de mieux dans le monde. Des meilleures performances de l’année et des chronos de classe mondiale devraient se succéder.

 

 

Kevin Mayer sur le triathlon

Kevin Mayer n’a foulé qu’une seule fois la piste bleue du stade Charléty. C’était le 24 août 2019, l’année de sa rénovation, lors de sa dernière participation à la réunion parisienne. Le double vice-champion olympique du décathlon avait éclaboussé de son talent une compétition inoubliable en améliorant ses records personnels sur 110 m haies en 13″55 et au poids avec 17,08 m. Une dernière performance qui constitue toujours sa marque de référence, et qui lui avait arraché un rugissement tant le cap passé était important. Le combinard tricolore s’est toujours senti à la maison dans la capitale. « C’est un rendez-vous qui me tient particulièrement à cœur et j’ai hâte de fouler à nouveau la piste du stade Charléty. C’est une compétition qui m’a toujours réussi ! J’arrive à m’y transcender grâce au soutien des spectateurs, qui me poussent à donner le meilleur de moi-même. Je vais pouvoir y prendre de précieux repères, à un mois des championnats du monde de Eugene. »

Le pensionnaire du Montpellier Athlétic Méditerranée Métropole s’alignera sur 110 m haies, à la longueur et au poids, dans le cadre du triathlon. Les trois épreuves qui lui avaient tant réussi en 2019. Un signe du destin ? Après avoir montré de belles choses au poids (15,36 m), au disque (49,30 m) et à la perche (5,30 m) depuis le début de la saison estivale, il pourra se tester dans deux de ses épreuves fortes, tout en peaufinant les derniers réglages à la longueur, une discipline dans laquelle il espère franchir prochainement un cap. La star de l’athlétisme français sera accompagnée par des valeurs montantes du décathlon hexagonal, à l’image de Baptiste Thiery, Téo Bastien, Makenson Gletty et Arthur Prévost.

 

Les Français au diapason sur le demi-fond

Depuis le début de l’été, les demi-fondeurs tricolores ont pris la bonne habitude de s’illustrer. Avec, aux avant-postes d’un peloton aux dents longues, Jimmy Gressier, Alice Finot et Benjamin Robert. Le premier a dominé de la tête et des épaules, en 27’24″51, la Coupe d’Europe du 10 000 m à Pacé le 28 mai. Le finaliste olympique à Tokyo sur la distance aura aussi en tête les minima pour les championnats du monde de Eugene (13’09″00), largement à sa portée. Le record de France, détenu depuis 2000 par Ismail Sghyr en 12’58″83, n’est plus une utopie pour le protégé d’Adrien Taouji et d’Arnaud Dinielle. Pour s’en approcher, le Boulonnais de 25 ans, détenteur d’un record en 13’08″99, devra s’accrocher le plus longtemps possible aux Éthiopiens Selemon Barega (12’43″02) et Yomif Kejelcha (12’46″79), qui figurent dans le top 10 des bilans mondiaux tous temps. En plus de Jimmy Gressier, trois autres Français seront au départ de la course avec dans le viseur Eugene : Hugo Hay, Félix Bour et Yann Schrub, qui ont déjà montré de belles choses cet été.

 

 

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Sur 3000 m steeple, Alice Finot va vivre une grande première. La vice-championne d’Europe en salle du 3000 m, qui a percé tardivement au plus haut niveau, s’apprête à découvrir le prestige des compétitions Diamond League. Un baptême du feu à domicile, lors duquel l’athlète de 31 ans retrouvera la Kazakhe Norah Jeruto Tanui, qui possède un record en 8’53″65, et la Bahreïni Winfred Yavi, qui a déjà couru en 8’58″71 cet été. Deux athlètes ayant auparavant porté les couleurs du Kenya. Une opportunité parfaite pour abaisser encore son tout frais record de France en 9’21″41 et, qui sait, faire trembler la barrière des 9’10. Flavie Renouard, qui a réalisé avec la manière les minima pour les championnats d’Europe de Munich avec un record abaissé à 9’36″59 le 3 juin à Manchester, sera aussi de la partie côté Françaises, tout comme Alexa Lemitre.

La troisième épreuve de demi-fond au programme du Meeting de Paris, le 800 m masculin, accueillera, elle aussi, un joli trio hexagonal. Débarrassés des minima pour Eugene, Benjamin Robert et Gabriel Tual peuvent désormais courir l’esprit libre mais tenteront de surfer sur sa belle forme du moment pour cueillir un nouveau record personnel. Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde en 2017, est à la recherche de repères, et attend avec impatience une course de référence pour se situer réellement face à ses adversaires. Ils retrouveront le champion olympique kényan Emmanuel Korir, le Botswanais Nijel Amos, troisième meilleur performeur mondial de tous les temps (1’41″73), et le Marocain Moad Zahafi, en tête des bilans 2022 avec ses 1’43″69.

 

Cyréna Samba-Mayela attendue

Depuis sa victoire somptueuse aux Championnats du monde en salle à Belgrade en mars, Cyréna Samba-Mayela s’est faite rare. Trois courses, deux tours d’Interclubs entrecoupés d’un Meeting à Doha flashé en 12″72 dans un vent trop favorable de 3,8 m/s, qui ont fait grandir la curiosité de tous les observateurs du milieu, avides de voir ce que la hurdleuse du Lille Métropole Athlétisme peut faire sur 100 m haies après son exploit sur 60 m haies cet hiver. L’étudiante en design retrouvera à cette occasion sa meilleure rivale sur le plan hexagonal, en la personne de Laëticia Bapté. La Martiniquaise vient de porter son record personnel en 12″80 à Genève, et ne compte pas en rester là. La Néerlandaise Nadine Visser, double championne d’Europe en salle, la Nigériane Tobi Amusan, double championne d’Afrique et la Britannique Cindy Sember devraient leur donner du fil à retordre, mais les Françaises pourront compter sur l’appui de leur public.

 

Rentrée des classes pour PML

Toujours sur les haies hautes mais chez les hommes, Devon Allen était engagé de longue date au Meeting de Paris Wanda Diamond League, mais il a rappelé ce dimanche qu’il ne faudrait pour rien au monde rater le rendez-vous du stade Charléty. En 12″84, le natif de l’Arizona est devenu le troisième performeur mondial de l’histoire, à seulement quatre centièmes du record du monde de son compatriote Aries Merritt. Et dire que c’était la première fois que le quatrième des Jeux de Tokyo (5e à Rio en 2016) passait sous la barre des 13 secondes, alors qu’il avait entamé ces derniers mois un entraînement en vue d’une reconversion dans le… football américain. Il ne sera pas le seul dans le XIIIe arrondissement de Paris à avoir déjà couru sous les 13 secondes, puisque Pascal Martinot-Lagarde a confirmé qu’il effectuerait sa grande rentrée estivale à cette occasion. Le vice-champion du monde en salle de Belgrade cet hiver détient le record de France depuis 2014 et ses 12″95 au Meeting de Monaco. S’il a depuis déplacé ses ambitions de la lutte contre les centièmes vers celle pour l’accès aux podiums internationaux (il en compte déjà douze à son incroyable palmarès), PML n’aime rien de plus que les grandes courses et les grands défis pour s’exprimer à son meilleur niveau.

 

 

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Déjà détenteurs des minima pour les championnats du monde de Eugene, sans pour autant avoir de garantie d’en être au vu de la densité française dans la discipline, jamais démentie depuis deux décennies, Wilhem Belocian et Just Kwaou Mathey auront une occasion en or de faire baisser leurs performances de référence : 13″15 pour le Guadeloupéen, 13″30 pour l’Ebroïcien. Finaliste olympique à Tokyo et assurément homme des grands rendez-vous, Aurel Manga sera également présent à la bagarre, à une semaine des Championnats de France Elite à Caen (24 au 26 juin). Enfin, la nouvelle pépite tricolore Sasha Zhoya a enregistré un intéressant 13″48 à Genève samedi dernier, pour sa deuxième course seulement sur les obstacles à 106 cm. Avec une concurrence d’un tel niveau, le champion du monde juniors de Nairobi en 2021 devrait aller bien plus vite, et s’étalonner sans tarder face à ce qui se fait de mieux sur la planète. Outre Allen et les quatre mousquetaires français, le Polonais Damian Czykier, le Britannique Andrew Pozzi et le jeune Espagnol Asier Martinez se présenteront sur la ligne de départ des séries, programmées à partir de 20h11, pour jouer les arbitres. L’explication finale, elle, est prévue à 21h44 dans la ligne droite de Charléty.

 

Renaud Lavillenie dans son jardin

Temps fort traditionnel du meeting de Paris, le concours de perche accueillera Renaud Lavillenie, qui cumule à lui seul sept victoires au Meeting de Paris. Le recordman de France (6,16 m en 2014) s’y est imposé de 2009 à 2014 puis en 2016. En l’absence de l’Américain Sam Kendricks, forfait de dernière minute après avoir été non partant jeudi à Oslo, le Brésilien Thiago Braz, champion olympique à Rio il y a six ans, sera à suivre de près. Les deux hommes comptent bien faire monter la barre au-delà de 5,90 m, hauteur à laquelle Valentin Lavillenie et Thibaut Collet espèrent les rejoindre. Les jeunes Français Anthony Ammirati et Baptiste Thiery seraient bien heureux de repartir de l’aire de sauts avec une nouvelle marque de référence.

 

 

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Avec quatre femmes ayant déjà culminé à plus de 2 mètres au cours de leur carrière, le concours de hauteur féminin aura fière allure au Meeting de Paris. La championne du monde en salle Yaroslava Mahuchikh en sera la grande favorite, forte de son record à 2,04 m et de ses deux victoires récentes à Eugene et à Rabat. À 20 ans, l’Ukrainienne compte déjà une médaille olympique et une mondiale en plein air à son palmarès, en plus de sa victoire à Belgrade cet hiver. Ses compatriotes Yuliya Levchenko, Iryna Gerashchenko et Kateryna Tabashnyk compteront parmi ses plus dangereuses rivales, tout comme l’Italienne Elina Vallortigara. Mais la menace la plus sérieuse viendra probablement de l’Australienne Nicola Olyslagers, victorieuse à Paris l’an passé sous son nom de jeune fille (McDermott) et deuxième des Jeux de Tokyo. La concurrence pourrait profiter aux deux Françaises engagées, Solène Gicquel et Laureen Maxwell, et les pousser à s’attaquer à des barres au-delà d’1,90 m. La Belge Nafissatou Thiam, championne olympique de l’heptathlon, figure également sur la liste des engagées, avec plusieurs sauts supérieurs à 2 mètres à son crédit.

Trois des sept hommes ayant franchi les mythiques 18,00 m au triple saut seront samedi à Paris. L’Américain Christian Taylor, deuxième performeur de tous les temps (18,21 m), en pleine reconstruction après sa lourde blessure, le Portugais Pedro Pichardo (18,08 m), champion olympique en titre, et le Burkinabé Hugues-Fabrice Zango, qui avait réussi 18,07 m en salle à Aubière en 2021. L’école cubaine sera également bien représentée samedi, avec ses deux jeunes talents Andy Diaz et Jordan Alejandro Diaz Fortun, ce dernier évoluant désormais sous la bannière espagnole. Enfin, trois des meilleurs internationaux français de la discipline, Benjamin Compaoré (17,06 m le 15 mai dernier), Melvin Raffin et Jean-Marc Pontvianne, tenteront de tirer leur épingle du jeu.

 

Du spectacle dans tous les lancers

L’ambiance des grands rendez-vous, Quentin Bigot, Alexandra Tavernier et les lanceurs de marteau avaient jusque-là pris l’habitude de la humer seulement une ou deux fois par an, lors des championnats internationaux. Les étapes de la Wanda Diamond League, le plus prestigieux des circuits de l’athlétisme mondial, ne leur était pas accessibles pour des raisons d’infrastructures et de sécurité. Un crève-cœur pour eux, même si un challenge mondial spécifique à la discipline leur était proposé. S’il n’intègre pas le programme en tant qu’épreuve estampillée Wanda Diamond League, le marteau fait cette saison son grand retour dans l’arène des compétitions phares de la saison estivale. Avec, juste après Oslo (16 juin) et avant Chorzow (6 août), un passage très attendu et fort logique par Paris. Logique car, avec Quentin Bigot et Alexandra Tavernier, l’athlétisme français compte actuellement deux spécialistes de la discipline parmi ses plus solides piliers. Le sociétaire d’Athlétisme Metz Métropole, vice-champion du monde en 2019 à Doha, vient de porter son record personnel à 80,55 m à Chorzow (Pologne) le 5 juin. La représentante d’Annecy Haute Savoie Athlétisme, 28 ans, détient, pour sa part, le record de France avec 75,38 m et compte déjà deux podiums en grands championnats à son palmarès (3e des Mondiaux de Pékin en 2015 et 2e des Europe de Berlin en 2018).

 

 

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Cerise sur le gâteau, Quentin Bigot et Alexandra Tavernier, qui seront accompagnés par leurs prometteurs compatriotes Rose Loga, Yann Chaussinand et Jean-Baptiste Bruxelle, ferrailleront en ouverture du Meeting de Paris avec le champion olympique polonais Wojciech Nowicki et son compatriote Pawel Fajdek, quatre fois champion du monde. Le plateau très haut de gamme mis sur pied promet un concours très disputé et très spectaculaire, avec sept hommes et cinq femmes dans la cage. Le disque féminin s’annonce aussi très passionnant, avec dans l’aire le podium des Jeux olympiques de Tokyo, composé de l’Américaine Valarie Allman, l’Allemande Kristin Pudenz et la Cubaine Yaime Perez. La Croate Sandra Perkovic, longtemps patronne incontestée de la discipline, sera au rendez-vous. De quoi surmotiver l’insubmersible Mélina Robert-Michon, qui aura à cœur de briller à la maison.

 

Le chronomètre devrait s’affoler

Attention les yeux, l’une des grandes stars de notre sport débarque au Meeting de Paris. La double championne olympique bahaméenne Shaunae Miller-Uibo déploiera son immense foulée dans les virages du stade Charléty. Celle dont le plongeon pour remporter l’or sur le fil à Rio avait fait le tour du monde part favorite d’une course où seule la Polonaise Justyna Swiety-Ersetic pourrait être en mesure de la contrarier. Les deux Françaises engagées auront, quant à elles, l’occasion d’engranger de l’expérience au plus haut niveau et tenteront de battre leurs records respectifs : la demi-finaliste olympique Amandine Brossier et la championne de France du 400 m haies Shana Grebo sont attendues au départ. Sur 200 m, lar star canadienne Andre De Grasse, champion olympique en titre, devrait enflammer le demi-tour de piste samedi, pour sa première à Paris. Les deux Bleus engagés, le très en forme Amaury Golitin, qui vient de battre son record sur la distance (20″25 le 11 juin à Genève), et son compère Mouhamadou Fall tenteront de suivre ses foulées dans le virage. L’outsider du jour devrait être le Dominicain Alexander Ogando, à l’aise en ce début d’été avec une course bouclée en 20’’07 le 30 avril dernier.

 

 

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Le champion olympique de Tokyo sur le tour de piste Steven Gardiner fera sa rentrée en Diamond League. Le Bahaméen partira avec la pancarte de favori dans le dos, et ses concurrents auront fort à faire pour ne pas le laisser filer trop vite : le champion d’Europe 2018 de la discipline Matthew Hudson-Smith sera en embuscade, avec le record continental dans son viseur. Les supporters français auront le regard tourné vers Loïc Prévot, qui a battu à deux reprises son record en ce début de saison, et qui pourra, pour sa première en ligue de diamant, profiter d’une course de gala. Pour finir en beauté samedi soir, le 100 m féminin s’annonce particulièrement show. Shelly-Ann Fraser-Pryce, multiple championne olympique et mondiale, devrait illuminer la nuit de Charléty. La Jamaïcaine, qui n’a pas couru depuis plus d’un mois, sera la favorite d’une course placée sous le signe de l’expérience : la Trinidadienne Michelle-Lee Ahye, habituée des grandes finales internationales, et l’Ivoirienne Marie-Josée Ta Lou, vice-championne du monde du 100 m et du 200 m en 2017, seront aussi sur la ligne de départ. Il faudra également surveiller la Suissesse Ajla Del Ponte, championne d’Europe en salle du 60 m et finaliste olympique l’an dernier.

 

Le Programme

  • 18h03 : Marteau Hommes et Femmes
  • 18h30 : Poids – Triathlon
  • 19h20 : Longueur – Triathlon
  • 19h30 : Hauteur Femmes
  • 20h09 : Perche Hommes
  • 20h11 : 110 m haies – Séries
  • 20h15 : Disque Femmes
  • 20h30 : 110 m haies – Triathlon
  • 20h41 : 100 m Hommes
  • 21h04 : 400 m Femmes
  • 21h15 : 200 Hommes
  • 21h18 : Triple saut Hommes
  • 21h25 : 3000 m steeple Femmes
  • 21h42 : Javelot Femmes
  • 21h44 : 110 m haies – Finale
  • 21h54 : 800 m Hommes
  • 22h05 : 400 m Hommes
  • 22h18 : 100 m haies Femmes
  • 22h29 : 5000 m Hommes
  • 22h53 : 100 m Femmes

 

En direct sur la chaîne l’Équipe

Réservez votre soirée : La chaîne L’Équipe met en place un dispositif exceptionnel pour permettre aux passionnés d’athlétisme de suivre la compétition en direct de 21h00 à 23h00. François-Xavier de Chateaufort sera accompagné de l’ancienne double championne d’Europe de l’heptathlon et de pentathlon Antoinette Nana Djimou et de l’ancien spécialiste du 3000 m steeple Bob Tahri. De son côté, France Pierron recueillera les témoignages des athlètes au bord de la piste.

Dès la fin de l’événement ce samedi, retrouvez notre compte-rendu du Meeting de Paris sur Stadion.

Plus d’informations sur le Meeting de Paris, en cliquant ici.

Crédit photo : STADION

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